Le Dégoût de cette République

Est-ce qu'on a déjà vu un Ministre de la République autant se donner le droit d'une parole biaisée, mensongère, manipulatrice qu'en ces week-ends de fin novembre. Accuser grossièrement le Peuple exsangue de par la politique fiscale et sociale de cette caste de bonimenteurs actuellement au pouvoir, de saccages eux-mêmes commis par des éléments identifiés et laissés libres d'agir par ce pareil ministère, cela s'appelle une forfaiture.

En d'autres temps bien lointains, ces preneurs de posture grandiloquente et pernicieuse, se seraient retrouver vite fait bien fait dans la fosse aux lions, face à de vrais et forts félins décidés là tout simplement à se régaler.

Ce qui eut mieux valu pour eux que d'être livrés tels quels souillés de leur vilenies de par les micros pusillanimement ouverts de BFMerdum TV et consorts. Dans ce cas ils auraient pu goûter aux joies de la lapidation et du lynchage, leçons qui suffiraient sans doute pour une génération d'apprentis politicards gouvernaleux teintés d'hypocrisie et de servilité envers l'ordre financier mondialisé.

Tout cela fait que notre idée, quand nous disons nous c'est en tant que Michel Duroc et ses amis, d'un Mouvement pour une 6ème République Consulaire, et d'ailleurs bien partageable avec d'aucun le voudrait, ait une emprise directe avec l'actualité de ces derniers jours.

Oui à la République, mais à sa belle et nouvelle conception,

Oui à un vrai Gouvernement, avec des buts clairs et profitables à chacun,

Oui à la Force de la loi, mais dans une autorité s'imposant sereinement à tous,

Non à un autoritarisme petit bras et sectaire envers le Peuple,

car celui-ci n'a ni raison ni tort, il décide.

Réfléchissons donc à donner à la France un gouvernement dirigé par Trois Consuls, hommes et femmes déterminés à l'essor du pays et à une réelle justice sociétale envers nos concitoyens, ayant pour mission manifeste de briser les tabous de notre époque d'individualisme forcené. 

Qu'ils veillent aussi à ne pas oublier de régler son compte à la rigidité postmortem qui exsude des dogmes bisounoursiens doxalisés du bobo land.

Michel Duroc